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Quand on est 4 jeunes minets mignons en vacances au Maroc, c'est facile d'occuper les heures brûlantes de l'après-midi, autour d'un thé à la menthe. Quelques baisers, quelques caresses et puis le désir monte très vite; on se dessape, on se branle, on se suce 2 par 2, puis à 3, à 4... deux petits culs cambrés s'offrent à 2 bites bien dures et face à face, chacun sur un canapé, ça s'encule dans la moiteur et les gémissements. Et puis c'est trop bon alors on se mélange à 4, une queue dans la bouche et l'autre dans le cul jusqu'au concert de giclées chaudes et épaisses. Vive les vacances !

Bruno et Marc partagent une baignoire emplie d'eau chaude et d'une mousse onctueuse qui pousse aux caresses. Marc n'y résiste pas, il s'empare de la queue de Bruno et la suce longuement, la faisant durcir entre ses lèvres gourmandes. Puis ils échangent les rôles et c'est Bruno qui pompe goûlument la bite de Marc; il lui titille la rosette du bout de la langue et l'enduit de salive jusqu'à ce qu'elle s'ouvre doucement. Marc vient empaler son cul affamé sur la bite dressée de Bruno, puis ils se mettent debout dans la baignoire et Bruno prend Marc contre le mur à grand coups de reins. Quoi de mieux que de gicler dans la mousse épaisse la crème de plaisir?

Peter était venu acheter un carambar mais il a trouvé mieux: le gros sucre d'orge de Bill le boulanger. Après l'avoir bien palpé dans son emballage, il le sort pour y goûter. Peter est très gourmand et suce longuement et goulûment ce gros bâton bien dur, puis Bill décide de se payer en nature sur le client et enfile son bout de réglisse bien au fond du fondement de Peter; après lui avoir bien ramoné la turbine à chocolat, appuyé sur le comptoir, les deux gloutons s'allongent côte à côte et font gicler le sirop de leur pochette-surprise.

Gilles et Philippe se reposent après la fac, mais quand deux jolis minets sensuels et vigoureux sont si près l'un de l'autre, la sieste devient vite crapuleuse... la main de Gilles explore le short de Philippe, s'empare rapidement de sa queue si chaude pour la sucer; puis c'est Philippe qui gobe voracement le gros dard de son copain. Les deux sont excités à mort et s'installent en 69 pour se pomper mutuellement, et puis Gilles offre son cul à son amant qui le prend en levrette. Philippe lui défonce le petit trou en le tenant solidement par les hanches, Gilles grogne son plaisir et son bonheur quand le foutre brûlant jaillit enfin.

Il fait chaud et moite au petit matin dans le fournil et les deux jolis mitrons ont le sirop prêt à jaillir. D'abord on se roule des patins, on se pétrit le paquet et vite vite on aspire au goulot de la pompe à sirop qui durcit. Quand la pâte est bien dure et épaisse on l'enfonce au chaud tout au fond du four à pain. Mais voilà le chef pâtissier qui arrive pour remettre de l'ordre et rétablir la hiérarchie: à genoux les mitrons et enduisez bien de salive la grosse baguette du chef avant qu'il ne vous l'enfourne entre les miches à l'un et à l'autre. En récompense, une grosse giclée de crème pâtissière sur les reins, ça met en forme pour le reste de la journée!